La vie quotidienne au cœur de nos élevages.
Partie #1
Durant l’été, nous sommes allés à la rencontre de plusieurs de nos éleveurs de Poulets Fermiers du Gers. Ce moment dans leurs exploitations familiales, nous a permis de redécouvrir des hommes et des femmes animés par la passion du travail bien fait et par l’amour de leur terroir.
Le bien-être animal
Pour nos éleveurs, le bien-être animal est depuis toujours une évidence. La grande majorité d’entre eux exploite l'élevage familial et fait perdurer une longue tradition plaçant la qualité au cœur de leur métier.
Le cadre naturel du Gers, ensoleillé une grande partie de l’année et jouissant de grands espaces en pleine nature, est particulièrement favorable à un élevage sous le signe du bien-être pour les volailles. Comme le dit Vincent Bégué : “nos anciens avaient compris il y a bien longtemps que pour faire une production de qualité, il fallait que les volailles vivent dans un cadre qui leur convient parfaitement”.
Une journée type
Les journées de nos éleveurs et de leurs volailles sont rythmées par une routine bien définie. Le matin est dédié aux vérifications des espaces intérieurs et des circuits automatisés d’eau et d’alimentation. Quand ils ont atteint 41 jours de vie, les poulets sont sortis à l’extérieur dans la matinée. Ils peuvent ainsi passer la journée à profiter de grands parcs ouverts de champs, de forêts et d’arbres.
A la nuit tombée commence pour nos éleveurs une gymnastique bien huilée pour rentrer les volailles à l’intérieur. Elles passent en effet la nuit au chaud et à l’abri des prédateurs naturels.
Label Rouge & Terroir
Le Sud-Ouest a toujours été une terre de productions de volailles fermières. D’ailleurs, le Gers est le premier département agricole de France et l’un des départements les plus anciens à avoir opté pour les engagements du Label Rouge.
Julie Dugros, notre éleveuse aime à le rappeler : “le Poulet du Gers c’est une vraie fierté pour le département”.
Qualité, coeur & transmission
Nos éleveurs nous le rappellent : leur métier est un métier de transmission et un passage de témoin entre générations.
Comme nous l’explique Joris Frulin : “ Mon père et mon grand-père étaient agriculteurs et j’ai repris le flambeau après eux. Élever des volailles, ce n’est pas un métier : c’est une passion.”
